Published 31/10/2009
Exercice de style, moyen d’identification d’une touche particulière, fascination immémoriale pour un lieu divin, désir de figer le mouvement, tout cela a obsédé les peintres, tous les peintres.
Mais on peut voir aujourd’hui dans ces ciels plus ou moins habités, un symbole de pureté malheureusement en voie de destruction par l’action humaine. Gageure sans doute, mais voici, issu des collections de Bridgeman, de quoi rasséréner notre combat pour une planète propre donc libre.
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Les artistes ont trouvé de multiples manières de peindre le ciel, d’exprimer l’air circulant dans l’espace. Fond d’or à Byzance, perspective menant à une compréhension céleste de l’iconographie au XVIeme siècle, prétexte à jeux de touches pour dire la mouvance et le changement permanent chez les Impressionnistes, le ciel n’est jamais vide en peinture. Pas plus dans la nature. Mais il est prétexte à composition idéale dans un cas, ouverture à la rêverie dans le second. |
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